Espace
Kiyari
Cérémonies d’écoute, de partage, de soutien et de célébration aux Îles-de-la-Madeleine
À propos
La communauté avant tout
Si Espace Kiyari a vu le jour, c’est d’abord pour permettre aux femmes présentes sur le territoire madelinot de s’épanouir individuellement et collectivement dans un environnement d’accueil et de bienveillance
Salut, moi c'est Jannie
Je facilite des Cercles de femmes depuis 2021 et en trois ans, ce sont près de 300 femmes qui ont assisté à l’une de mes cérémonies. Je ne saurais être plus reconnaissante de l’appui et de la confiance dont j’ai pu bénéficier dès mes premiers pas comme accompagnatrice.
Je m’engage à poursuivre cette mission de guider avec intention et à coeur ouvert chacune d’entre-vous vers un cheminement de profonde découverte de soi.

Espace Kiyari : né d’un profond besoin de sororité
Killari signifie clair de lune en langue Quechua : un clin d’oeil à ce soir de Pleine Lune dans le village de Mancora au nord péruvien où j’ai rencontré celles qui allaient paver la route de ma mission de vie. Invitée à prendre part à mon premier Cercle de femmes par une nouvelle amie, j’ai suivi l’appel de la louve. Pendant les six mois où j’ai habité de pays d’Amérique latine, ces cérémonies sont devenues mon point d’ancrage. Lorsque je suis revenue m’installer aux Îles-de-la-Madeleine à l’été 2021, j’ai cherché à recréer cet espace sécuritaire et collectif qui m’avait tant bercé et supporté pendant mon séjour à l’étranger.
Je ne saurais exprimer toute la gratitude envers Paula et Mariel, ces deux femmes incroyablement généreuses et accueillantes qui m’ont transmise toute leur passion et leur savoir afin que je puisse à mon tour offrir un peu de magie au sein de ma communauté.
Avec leur bénédiction, j’ai agrandi leur cercle jusqu’à ce qu’il touche l’archipel, pour que celles qui l’habitent et le visitent puissent profiter à leur tour de ce puissant rayon lumineux.






Mon parcours
Après des études universitaires en communications et en rédaction, j'ai oeuvré comme journaliste pendant près de 10 ans, d'abord en télévision puis par la suite en radio. Au printemps 2020, à l'âge de 32 ans, j'ai pris la décision de quitter ce milieu qui était devenu anxiogène et toxique pour moi. Sans savoir ce qui m'attendait, j'ai accepté de sauter dans le vide et de faire confiance à la vie.
Avec du recul, je réalise que ce qui me manque le plus de ce métier, c'est l'opportunité d'aller à la rencontre de l'autre à travers des entrevues de fond avec ce réel désir de comprendre qui se trouve devant moi. J'ai la conviction que les outils que j'ai développés durant ma carrière dans les médias me permettent d'être une meilleure alliée et facilitatrice d'espace sacré. D'abord et avant tout parce mon expérience en journalisme m'a aidé à comprendre comment creuser pour trouver l'émotion et l'exprimer. Ce sont ces mêmes moteurs de curiosité et d'empathie qui m'ont toujours servi comme intervieweuse qui me guident aujourd'hui dans mon accompagnement auprès des femmes.
Aujourd'hui, je peux dire que je me sens plus accomplie que jamais, et que j'ai enfin un sentiment d'appartenance et l'impression de faire une différence autour de moi, et ça c'est grâce à toutes ces femmes qui m'ont fait confiance et m'ont tenu la main quand j'ai décidé de changer de route.